Pas grand chose dans ma tête depuis un moment. A part CAPTURES et DERNIERES LECTURES. Inutile désormais de faire un post à chaque capture ou une indigente critique-éclair pour chaque bouquin lu. Je vous invite donc, si ça vous intéresse, à consulter les rubriques ci-dessus régulièrement (aujourd'hui par exemple).

Si, autre chose dans ma tête cependant, une douleur lancinante car il n'y aura jamais plus de nouveautés ICI...

Meilleurs voeux à toi. Qu'un jour quelqu'un t'apporte autant de merveilleux que tu m'en as offert.

- Critique-éclair : Joyce Anne Schneider - "Baignade interdite". Haletant. 

- Ma main gauche vue de ma tête :

 - Voir captures n°20. 

- Politique-friction : Ami(e)s socialistes, qu'allez-vous donc mettre sur vos blogs si M. Hollande est élu ? Exit les nains, nabots, présidenticules et autres caricatures au ras des pâquerettes. Bref, vous allez vous emmerder ! Ré-élysez donc Sarkozy ! 

- Banderoles confectionnées par Pastelle suite à mon délégendage de Sucrebleu (voir 120) :

- Citation envoyée par Caro : "L'humour est le meilleur moyen de rendre supportable l'insupportable." - Mary Ann Shaffer. Une variante de "l'humour est la politesse du désespoir".

- Que retiendrai-je du quinquennat de M. Sarkozy ? Mon amour...

Today, neuf mois without you...
I miss you Fanny ♥

Trop.

Dans un coin de sa tête je me promène, me délectant de ses reflets, m'enivrant de ses charmes. Elle emplit toute la mienne et sans me peser m'apaise.

Ne plus être aimé et ne plus vouloir aimer.

Il n'étreint plus que la lumière lointaine de son aura, tandis qu'elle passe ici et là, laissant en filigrane sa présence muette à ses cernes usés.

Mille et une nuits à caresser tes cils, à jongler sur tes hanches, à embrasser tes mains, à parcourir ta peau, à danser sur tes seins, à inspirer ton corps, à faire frémir tes pores, à fuseler tes jambes, à jouir de ton parfum, à flaner sur ta nuque, à déstresser tes cheveux, à dévaler ton dos, à vibrer de tes doigts, à embraser ton cou, à siroter tes lèvres et suçoter les autres, à sentir tes reins, à inspirer tes yeux, à titiller ton nez, à me saouler de toi, à te dire je t'aime et à l'entendre aussi, à m'insinuer enfin, à attendre ton émoi pour assouvir le mien... et à me réveiller, en sursaut, devant ce clavier, et à me faire un café, à pisser, à allumer une clope, à me laver, à me raser, à m'habiller, à sortir, à rentrer, à manger et boire et puis à m'endormir... pour embraser tes cils, faire frémir tes hanches, jouir de tes mains, flaner sur ta peau, embrasser tes seins...

Pour mes maux d'elle, mon modèle, un mot d'elle !