261 - FIN.

Une éclaircie s'est profilée,
aussi fugace qu'un éclair,
aussi dévastatrice que la foudre :
ça ou rien.
Ca et puis plus rien.
Que faire ?
Laisser ce ça inaccompli
pour continuer dans le rien ?
Replonger dans le rien
après avoir assouvi ce ça ?
Un nouveau rien me ferait bien plus de mal
que ce ça me ferait de bien.

Obscur, je sais. Sauf pour elle et moi. Tout ça pour vous dire que j'en ai plein le cul de ce blog en particulier et du reste en général. Je vais arrêter de vous faire chier avec ma belle histoire et mes états d'âme... (en comms et en mails). J'apprécierai encore vos oeuvres graphiques, littéraires et autres mais je vais le faire en silence désormais. Inutile de commenter ou de m'écrire, je n'ai plus envie de communiquer et je ne répondrai pas. Oubliez-moi.

Désolé. Merci et bonne continuation à vous tous.

Comments

[Pastelle]

Si tu crois que je pense à toi dans ma note du jour tu ne te trompes pas vraiment.

[Monique]

Je me joint a tous tes amis pour l'affection et l'amitié. Reviens quant tu veux l'ami Patrick.

Tout est bien et curieux et divers chez toi,

mais je comprend ta lassitude étant dans la même attitude -Je te fais un gros gros bisou

[Pastelle]

PS : De retour de sucre bleu, contente de voir que tu crées encore. C'est l'essentiel.

[Pastelle]

Ca fait drôle un jour sans nouvelle note ici.

T'es pas obligé de répondre de toute façon, mais le "Oubliez moi" ne sert à rien.

Moi je n'oublie pas.

Je viens de tomber sur une citation qui m'a fait penser à toi :

"Les paradis sont faits pour être perdus".

Je reviendrai.

[Bernard Rousseau]

Tu sais peut-être pas, mais ce mois-ci, j'ai failli mourir pour ma ''elle'' perdue... Et depuis quelques jours, je suis sorti de cet enfer. Je me rends compte que des ''elle'' comme les nôtres, parfois, elles ne supportent pas le jaillissent de ce que nous sommes et qu'en y regardant bien, des ''elle'' qui peuvent nous supporter, ben il y en a plein les jardins. Tu es un être supérieur Patrick, alors regarde devant toi, bas vers le bas.

Bye!